Roger Waters, cofondateur de Pink Floyd, s’est payé la tête de Mark Zuckerberg et d’Instagram. Il entend s’opposer à la toute-puissance du groupe américain.

An effigy of Facebook CEO, Mark Zuckerberg, dressed as a January 6, 2021, insurrectionist is placed near the US Capitol in Washington, DC, on March 25, 2021. – Protester set up effigies of Big Tech CEO’s as the US Congress holds hearings March 25 about the spread of disinformation and misinformation on their platforms. (Photo by MANDEL NGAN / AFP)
AFP/Mandel Ngan
Roger Waters, cofondateur de Pink Floyd, s’est payé la tête de Mark Zuckerberg à l’occasion d’un événement de soutien à Julian Assange. Il a rapporté avoir repoussé «une grande quantité d’argent» offerte par Facebook pour utiliser le tube «Another Brick in the Wall Part 2» dans une publicité pour l’application de messagerie Instagram. Il entend s’opposer à la toute-puissance du groupe américain.
Roger Waters s’en est ensuite pris à Mark Zuckerberg, cofondateur de Facebook et propriétaire d’Instagram. Il a rappelé les origines du succès de l’étudiant de Harvard avec son application de notation FaceMash de type «sexy ou pas». «Comment ce petit con qui a commencé par dire: elle est jolie, on lui donne un 4 sur 5, elle est moche, on lui donne un 1, comment diable… a-t-il obtenu un quelconque pouvoir?» a déclaré le musicien. «Et pourtant, il est là, l’un des idiots les plus puissants du monde».
Selon Facebook cité par le site CNET, la demande émanait de l’équipe marketing d’Instagram, et non pas directement de Mark Zuckerberg. Le groupe américain dit simplement respecter les décisions des artistes musicaux de travailler ou non avec le réseau social et ses différents services.
(L’essentiel/laf)